Quelques BD en lecture libre …
- La peur (2009)
- Des maths (2008)
- Triste sort (2007)
- Crime au couvent (2006)
- Amiens dans 100 ans (2005)
La BD et moi …
C’est la bande dessinée qui a été mon premier contact avec le dessin, et (n’en déplaise à certains puristes) une certaine forme de littérature. La BD était premier amour d’adolescente, cette forme d’art et d’expression qui m’a offert mes toutes premières inspirations et qui m’a donné envie de créer à mon tour, cet univers dans lequel je baignais jour et nuit autrefois et qui aujourd’hui me paraît si lointain.Voilà donc ce qu’était ma vie avant 2010 :
- Beaucoup d’année passées en tant que bénévole de l’association « on a marché sur la bulle », pendant lesquelles je vivais le festival BD d’Amiens du côté des coulisses.
- Des amis et contacts parmi les nombreux dessinateurs picards que j’essaye aujourd’hui de ne pas perde de vue.
- Plusieurs années de cours du soir de BD auprès de Fraco, dessinateur Amiénois, et à l’université jules Verne.
- Quelques planches maladroites, peu de planches, peu de temps à consacrer à cette passion, trop d’idées à écrire trop longues à dessiner.
- Une timide tentative de fanzine amateur BD/illustrations avec quelques amies : « Le Sanctuaire«
Ce fanzine a été une aventure d’un an qui m’a propulsée dans l’univers de la gestion de publication et donné de l’essor à mes débuts maladroits de design web, les prémices de ce que je réalise aujourd’hui pour le Projet Transition. Le Projet Transition … en voilà un qui porte si bien son nom. L’entrée dans ce projet collectif m’a fait basculer malgré moi d’un monde à l’autre. En m’aventurant sur le domaine des fanzines littéraires j’ai peu à peu quitté celui de la bande dessinée. Bien sur, au début je dessinais, puis à force de côtoyer des écrivains, j’ai moi aussi voulu écrire. Frustrée du temps qu’une BD réclamait pour donner vie à une histoire (moi qui ai tant d’histoires en tête et si peu de temps libre), j’ai vu mes textes crever les petites bulles dans lesquelles ils étaient tant à l’étroit, et se délayer longuement sur le papier ou l’écran. Ça y était, le pas était franchi. Aujourd’hui, je m’éloigne peu à peu du monde de la BD, par manque de temps, parce que j’ai découverts de nouveaux moyens d’expressions. Mais je continue à espérer un jour, peut être en tant que scénariste, revenir à mes premiers amours.