Le Fanzine Éveil est une ancienne publication sur support papier à parution annuelle, éditée par l’association Transition. Il rassemble des nouvelles, des poèmes et des illustrations, libres pour certains, à thématique pour d’autres.
Le n°2 est toujours disponible, mais il reste très peu d’exemplaires !
Dans ce numéro, les œuvres se suivent Au fil de l’eau…
Dans la partie thématique :
- AvecCela ne me regarde pas, Magali Couzigou ouvre ce numéro par la magie en demi-teinte d’un conte amer sur l’indifférence.
- Puis Léa Silva nous invite à suivre l’hommage à son enfance que mène une jeune femme. Que reste-t-il de cette grand-mère aimante qui l’appelaitSouricette et qui s’effraya si fort, le jour où sa petite-fille s’emporta contre une vieille dame qui tordait son linge au lavoir?
- L’eau emporte les défunts, les âmes décharnées. Et quand, lycéen, on a toujours vécu près de la rive des Morts, comment se défendre contre l’engourdissement que provoque le Styx ? Rémi Billoir donne un début de réponse dansBridge over Troubled Water.
- Vanessa Terral nous propose une petite pause poétique:Edwine Au-fil-de-l’eau, qui guette auprès de l’onde, court rejoindre son époux un soir de Samain.
- Si à première vue, Tuip n’est qu’un oiseau à peine tombé du nid, sa volonté et son culot en fontUn fauve poids-plume ! Marie-Anne Cleden conte l’amitié insolite entre la paruline et son animal-totem, inattendu.
- Marco est un gamin adorable, aux petits soins pour sa grand-mère qui s’occupe de lui depuis le décès de ses parents. Nona est une peu sorcière, toutefois, elle reste une vieille dame qui ne peut rien contre un coup de chaud pris en pleine canicule… Stéphane Pihen, avec sonIl Benedante, nous emporte le temps d’une belle histoire dans la campagne italienne.
- Une vieille femme scrute le cours d’eau qui a accompagné son enfance. Durant des années, elle lui a confié ses souvenirs douloureux. Mais désormais, elle souhaite se retrouverIn Memoriam. Alice Louyot signe un récit qui file entre les doigts, comme le sable du temps pour la vieillesse qui contemple un passé inconsistant.
Et en prose libre:
- Hans Delrue nous mène dans le doux été d’un amour fou et aveugle, quand un vieillard adoreUne femme de lettres à ne plus pouvoir vivre sans elle.
Découvrez aussi les illustrations et les photos de Cécile Guillot, Kaléa, Lady Yvi, Nemo, Amandine Petit, Alice Ramelet, Yohan Vasse.